Ou celles de la nature
Que l'on investit un nouvel interstice
Le regard est nouveau, nos yeux s'ouvrent à l'essentiel
Habités de nos héritages, l'on s'adoucit
On caresse l'ombre et la lumière, sans crainte
Pour enfin, laisser entrer la nuance des couleurs
Elles, dont on croyait tout savoir, font battre nos coeurs
Et s'emparent de notre réel pour nous donner autre chose
Un désert d'abandon dans lequel le futile est en suspension
Merci pour ce beau voyage. Nostalgie, nostalgie...
RépondreSupprimerMa préférée : La ruelle en noir et blanc.